28 février 2015

The place to be today

Musée de Bagnes (Chemin de l'Eglise 13, Le Châble), exposition «Ce Valais qui n’a pas été», du 1er mars au 24 mai 2015.

Vernissage samedi 28 février à 17h

25 février 2015

C'est reparti

Nous sommes tous Charlie avions-nous écrit au soir du 7 janvier dernier. Et pour montrer notre attachement à la liberté d'expression, nous avons porté en brassard sur la page d'ouverture de notre blog le logo

Désormais Charlie Hebdo est de nouveau dans les boites aux lettres de ces nombreux abonnés,


eh oui, comme le dit la une de la parution de ce mercredi 25 février 2015: "c'est reparti", notre action explicite de deuil et de soutien s'achève donc en ce moment précis. Longue vie à la démocratie.

Le metteur en page


22 février 2015

VOYAGE DANS UN VALAIS QUI AURAIT PU ÊTRE

Communiqué:

La nouvelle exposition du Musée de Bagnes met en scène une cinquantaine de projets imaginés en Valais, qui n’ont finalement pas été réalisés. Mais si les Jeux olympiques ou l’autoroute du Rawyl avaient vu le jour, notre quotidien serait-il très différent? Bienvenue dans «Ce Valais qui n’a pas été», l’exposition qui transporte le visiteur dans une autre réalité.

Une année de travail, des dizaines de contacts avec les communes valaisannes, des heures de plongée dans les archives, des quantités de documents, dessins, plans, photosmontages, articles de presse, quelques maquettes, beaucoup de réflexion. A l’arrivée, une exposition passionnante proposée du 1er mars au 24 mai par le Musée de Bagnes, sous le titre «Ce Valais qui n’a pas été».

L’idée de cette exposition trottait depuis quelques années dans la tête de l’historien Bertrand Deslarzes, chargé culturel de la Commune de Bagnes. «Tout est parti d’un travail sur l’histoire de Verbier. Dans les années 60, on imagine des stations intégrées, qui prévoient de grands aménagements dans les secteurs de l’hôtellerie, des appartements et des domaines skiables notamment. Comme ce genre de projets se multipliaient à travers le canton, nous avons eu l’envie d’élargir le propos à l’ensemble du Valais.»

La récolte des données débute en mars 2014. «Nous avons envoyé un courrier à toutes les communes valaisannes en leur demandant s’il existait, sur leur territoire, des projets pensés mais avortés», explique Mélanie Hugon-Duc, anthropologue et commissaire de l’exposition. Les communes jouent le jeu, faisant appel à leurs souvenirs ou à leurs archives. Elles transmettent des projets documentés par des objets qui sont difficiles à exposer en tant que tels, et qui illustrent le processus du projet. «Plus il est avancé, plus il est illustré mais, souvent, cela reste très maigre.»

 © Ambroise Héritier

Mis en scène comme s’ils avaient été réalisés 


Une fois cet important matériau réuni, quel discours porter sur lui? C’est l’autre grand défi de l’exposition, qui sans cela se résumerait à une présentation anecdotique de documents. «Nous avons choisi d’inscrire les projets dans une autre dimension, en faisant comme s’ils avaient été concrétisés.»

La scénographie de l’exposition, imaginée par Claire Pattaroni, renforce cette impression: le visiteur franchit des rideaux derrière lesquels il découvre l’illusion d’autres présents valaisans. «Cette scénographie permet une adéquation parfaite entre la forme et le fond, se réjouit Mélanie Hugon-Duc. Elle fait pénétrer le spectateur dans une autre réalité, celle du non advenu, du non réalisé, avec un jeu sur les repères et la perception.»

La station de l'Arpille, qui devait faire le bonheur des touristes été comme hiver,
prévoyait une fameuse descente du Martigny. © Ambroise Héritier
Un hôtel sur le barrage d'Emosson, imaginé par l'architecte basile Zufferey.
© Zufferey

 

«On trouvait les barrages horribles, ce sont aujourd’hui des buts de promenade» 


 Si les projets avortés avaient été concrétisés, le Valais contemporain serait-il très différent? Un train au sommet du Cervin, un canton divisé en six districts, un parc d’attraction tropical au coude du Rhône, 23 tours à Aminona, est-ce que cela aurait tout changé? «Aujourd’hui, on trouve ces projets irréalistes, parce qu’ils n’ont pas abouti. Mais s’ils s’étaient concrétisés, on les aurait intégrés dans notre quotidien, comme on l’a fait par exemple avec les barrages: lors de leur construction, beaucoup de gens les trouvaient horribles, alors qu’aujourd’hui ils sont devenus des buts de promenade très prisés.»

Réalisés, ces projets auraient aussi contribué à donner une image différente du canton. Mélanie Hugon-Duc pense par exemple au Musée de l’industrie projeté à Vouvry, qui aurait mis davantage en lumière la dimension industrielle du Valais.

Ambroise Héritier a dessiné le territoire de «Ce Valais qui n’a pas été» et a illustré tous les projets réunis par l’équipe du Musée de Bagnes, alors que l’exposition présente uniquement les projets pour lesquels il existe des preuves matérielles. Empreint d’humour, le travail de l’artiste révèle des éléments intéressants, la concentration des projets et la relation plaine-montagne notamment.

Marie Claude Morand, Charly Darbellay, Urbain Kittel, etc. 


Pas plus qu’elle n’explique pourquoi les projets présentés ont avorté, l’exposition du Musée de Bagnes ne porte de jugement sur eux. «Un projet non concrétisé n’est pas un échec, mais une autre réalité possible.» Ils sont présentés sous quatre catégories: le paysage, le territoire, l’existence et l’art. Ce dernier volet permettra à la Sierroise Maria Ceppi de s’interroger sur ses projets artistiques pas encore réalisés, et de travailler à une installation participative qui sera créée en interaction avec des invités provenant de son cercle d'amis élargi.

Le public, qui aura tout loisir de s’installer dans les salles du musée pour feuilleter divers documents, pourra encore écouter des extraits d’entretiens menés avec des personnalités possédant une vision large du canton. A l’instar de Marie Claude Morand, ancienne directrice des Musées cantonaux, du promoteur immobilier Urbain Kittel, de l’historien Philippe Bender ou encore de Charly Darbellay. Plusieurs événements, comme une conférence sur l’architecture utopique, sont en outre prévus autour de «Ce qui n’a pas été», pour en parler et y penser.

Musée de Bagnes (Chemin de l'Eglise 13, Le Châble), exposition «Ce Valais qui n’a pas été», du 1er mars au 24 mai 2015. Vernissage samedi 28 février à 17h

> Ouvert du mercredi au dimanche, de 14 à 18h

21 février 2015

Revue de presse des journals de carnavaux

La Dzapate Rose (seconde édition) s'est fendue d'un dossier complet sur l'affaire de la maison de la santé en Entremont.
Nous y sommes cités au passage.
Pour la SEPTIEME année consécutive, merci la Dzapate!




20 février 2015

Des nouvelles de l'évêque humoristique

Il y a de nombreux mois un correspondant s'interrogeait sur la présence d'un évéché à Chez-les-Reuses  bien avant l'élection de Jean-Marie Lovey.




Notre correspondant affirmait: 

Il y vivait naguère un personnage pittoresque que l’on surnommait l’évêque. La maison où il habitait est devenue de ce fait l’évêché et ce nom est resté jusqu’à ce jour lié à cette bâtisse! Assurément elle mérite désormais une visite de monseigneur.

Nous avions lancé un appel pour en savoir plus. La réponse est tombée sous la forme d'un commentaire anonyme:

Cette maison est appelée l'Evêché car elle était celle de Maurice Joseph Louis JORIS (1895-1972), dit l'évêque. « Pourquoi le surnommait-on l’Evêque ? C’est un héritage de son père qui fut baptisé à Orsières par un évêque le jour où le prélat procédait à la confirmation. » Le Nouvelliste, 18 janvier 1972.

Nous avons donc recherché l'article en question:


Nous n'avons pas pu vérifier la véracité de l'histoire concernant le baptême de son père par un évêque. Le père de Maurice Joris était Joseph Philibert Joris d'une famille qui vivait en ville au Bourgeal, il a été baptisé ou est né le 22 janvier 1855, le registre de baptême ne dit pas si c'est l'évêque qui a procédé au baptême. C'est Maurice qui ira s'installer à Chez-les-Reuses après son mariage avec Léonisse Schers. L'évêque du baptême de son père serait alors Pierre-Joseph de Preux. Reste à vérifier s'il était de passage à Orsières en janvier 1855. Est-ce que quelqu'un a des sources sur la question?

/U+DJ+HR

19 février 2015

L'Entremont au Carnaval de Rio!

Guillaume Tell, la Vouivre, les mercenaires, les dames blanches, la neige, les glaciers, les banques, les montres, le Pont du Diable, le chocolat, Hans Rudolf Giger,  les Gardes Pontificaux, la Suisse était à la parade dans l'imaginaire du carnaval de Rio et même l'Enttremont avec les chiens du St-Bernard!


A voir ici, c'est époustouflant! 10 minutes de bonne humeur.

18 février 2015

Humour carnavalesque

L'Oursin 2015 réagit aussi au texte de Gilbert Darbellay Au revoir, M. le Président Eloi Rossier qui avait paru sur notre blog le 7 octobre 2014 et sur le Nouvelliste quelques jours plus tard.



16 février 2015

Service minimum dans la Dzapate jaune

Il ne faut pas grand chose pour nous rendre heureux, cette discrète allusion à Entremont Autrement dans la première édition (la jaune) de la Dzapate 2015 suffit à notre bonheur.

15 février 2015

Votations fédérales du 8 mars prochain

Non à l'initiative «Aider les familles! Pour des allocations pour enfant et des allocations de formation professionnelle exonérées de l'impôt»

Entremont Autrement ne s'est pas montré insensible aux arguments des initiants. La défense de la classe moyenne et des familles a toujours eu une place centrale dans notre politique et il ne fait aucun doute que ce texte partait d'un bon sentiment.

Cependant, si le but est d'aider les familles, il parait évident que l'initiative le loupe totalement. Il faut déjà savoir qu'environ la moitié des familles ne paie pas d'impôt et ne bénéficiera donc pas du tout de cette initiative.
Pire, si le texte est approuvé par le peuple, cela ferait entre un et trois milliards de recette en moins pour les collectivités. Pour compenser cela, il faudrait soit augmenter les impôts, amenuisant de cette manière l'effet de l'initiative, soit diminuer les prestations ce qui péjorerait la situation des familles aux revenus les plus modestes.
Seules les familles de la classe moyenne supérieure pourraient tirer avantage de la situation, mais cela risque de se faire au dépend de citoyens moins favorisés.

Enfin, l'argument prétendant que les allocations ne sont pas un salaire et ne devraient donc pas être imposées n'a pas fait mouche: le droit fiscal est fondé sur le principe de lʼimposition selon la capacité économique. Or, le contribuable qui reçoit une allocation pour enfant ou une allocation de formation professionnelle augmente son revenu et donc sa capacité économique, ce qui justifie un impôt plus élevé.

En conclusion, il est important de soutenir les familles et la classe moyenne mais cette initiative qui laisse de côté la moitié des familles et n'est avantageuse que pour les plus favorisées n'est pas une solution satisfaisante aux yeux du mouvement Entremont Autrement.

«Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l'énergie»

Entremont Autrement s'est montré partagé face à cette initiative. Il est évidemment primordial de diminuer notre consommation d'énergie et d'encourager les citoyens à choisir des véhicules peu gourmands en énergie fossile. Cependant, remplacer la TVA par une taxe sur l'énergie est un pas qui peut sembler excessif: on parle de 5 francs le litre d'essence. Nous regrettons surtout que les régions périphériques pour qui il est plus difficile de se priver de véhicule soient largement prétéritées face aux régions urbaines avec ce texte.

Malgré tout, pour atteindre les objectifs énergétiques que notre pays s'est fixé, il faudra de toute manière consentir à des efforts; Entremont Autrement a donc décidé de ne pas donner de recommandation de vote au sujet de cette votation.


Lire aussi le billet d'Urbain 

11 février 2015

Nouvelles de la Maison de la Santé

Nous sommes entrés dans une phase très active en vue de l'ouverture en mai 2016 de la Maison de la Santé. L'association des communes par l'intermédiaire du bureau d'architecture GAME a lancé les soumissions et le choix des entreprises sera rapidement connu. Les travaux de terrassement débuteront en mars prochain. Nous finalisons les choix des sols, peintures, éclairage, signalisation.

Mais outre la construction, nous avons de nombreux "chantiers" en cours. L'un des importants chapitres est l'informatisation des dossiers médicaux. Dans notre centre médical, le papier va quasiment disparaître. Pour cela nous commencerons dès la fin février 2015 d'informatiser progressivement nos dossiers médicaux (des milliers). Un travail titanesque...

Nous sommes déjà un peu dans la Maison de la Santé! Le centre médical, c'est bien sûr des médecins... Pour l'ouverture en mai 2016, outre les anciens, nous compterons sur deux jeunes collègues féminines de grande valeur: la doctoresse Lucile Bois-Farinaud et la doctoresse Lauriane Friedrich. La première collabore déjà avec le Dr Gilbert Bruchez au Châble deux jours par semaine et au cabinet des docteurs Chevalley et G. Darbellay à Orsières un jour par semaine. La doctoresse Laurianne Friedrich est cheffe de clinique aux urgences de l'hôpital de Sion. Le docteur Thomas Gehrke (cabinet à Martigny et médecin-chef à l'hôpital du Chablais) et son épouse devrait assurer une consultation pédiatrique à 50%.

Encore une fois, la Maison de la Santé, c'est du concret! Un centre médical de cette taille ne s'improvise pas. Le travail est immense pour y aboutir. Des aspects juridiques, assécurologiques doivent être traités, tout comme la constitution d'une convention entre médecins, de règlements stricts de fonctionnement etc.. Des choix de radiologie, de laboratoire, de différents matériels médicaux sont en voie d'être réalisés. Et bien sûr, pour fonctionner, il faut du personnel. Nos assistantes médicales seront prioritaires et nous verrons ensuite si de nouveaux engagements seront à proposer. Un conseil d'administration de la SA Médidranse (nom de la SA des médecins qui travailleront à Sembrancher) a été constitué. Ses membres (Dr D.Chevalley- président, Dr J-P Deslarzes coordinateur du projet, Dresse L. Bois-Farinaud, Dresse L. Friedrich et Dr G.Darbellay) pilotent l'avancée des différents chapitres, rendant des comptes régulièrement à l'assemblée générale des médecins de Médidranse.

En conclusion, en mai 2016, notre centre médical sera opérationnel à Sembrancher, à disposition des patients du Grand Entremont.


Les médecins de Médidranse

7 février 2015

Allocations familiales et déductions fiscales

L’allocation familiale est une prestation, par enfant, en faveur des familles. Et ce, quelle que soit sa composition. C’est une prestation solidaire. Les diverses caisses d’allocations familiales retenant un pourcentage identique sur le salaire de chaque employé affilié à leur caisse. Et encore, à salaire égal, l’employé n’ayant pas d’enfant à sa charge cotise autant que son collègue en ayant plusieurs.

La déduction fiscale de ces allocations familiales est à l’ordre du jour des votations du 8 mars prochain. L’avantage financier qui en découlerait, voire plus, est déjà actuellement effectif en Valais. En effet, puisque dans notre canton, tous les bénéficiaires de cette prestation peuvent déjà déduire fiscalement de leur(s) revenu(s) un montant supérieur aux allocations reçues.

Au vu de ce qui précède, tout semble jouer en faveur des familles et de l’initiative « Aider les familles ! ». Mais dans les faits, est-ce que vraiment toutes les familles y trouveront un avantage ? Et dans quelle mesure ?


Je vais commencer par répondre à la première de ces questions. En automne 2014, lors d’une soirée-débat en Entremont, le grand argentier cantonal affirmait haut et fort qu’un contribuable valaisan sur quatre ne payait pas d’impôt. Comment dès lors, son président de parti au niveau national ose-t-il affirmer avec force que TOUTES les familles seront favorisées par la déduction fiscale soutenue par son parti. Cette affirmation est malhonnête et mensongère. Au vu de ce qui précède, j’ose affirmer que dans notre pays une partie non négligeable de familles, celles se trouvant le plus dans le besoin, ne profiteront d’absolument aucun avantage financier en cas d’acceptation de cette initiative. Je mets au défi notre grand argentier et son président de parti de prétendre le contraire.

Je poursuis avec la seconde interrogation. Comme le taux d’imposition est progressif, la déduction d’un même montant d’allocations bénéficiera davantage aux familles de la classe aisée qu’à celle de la classe moyenne. Là encore, ce ne sera pas les 2 politiciens cités dito qui me contrediront, même s’ils se présentent avant tout comme les défenseurs de la classe moyenne.

De plus, et ce qui précède le démontre, ce type de baisse fiscale renforce le fossé qui se creuse entre riches et pauvres. Au cours de la dernière décennie, de nombreuses baisses fiscales ont été octroyées aux contribuables valaisans. Les bénéfices de celles-ci se révélant faibles pour les familles en difficulté et allant croissants à mesure que les moyens financiers des familles augmentent. Et quand ces baisses fiscales finissent par plomber les finances cantonales, qu’est-ce qui est mis en place pour juguler le manque à gagner ? Une suppression des réductions individuelles des primes d’assurance-maladie à 21'000 personnes d’une classe qui va gentiment passer dans celle en difficulté, une coupe dans le budget alloué à l’éducation des enfants en difficulté, une augmentation linéaire des taxes sur les véhicules. Et tout ceci avec les mêmes effets pervers que cités dito.

Comme chacun peut le voir, cette initiative ‘Aider les familles’ n’apporte pas du tout de beurre dans les épinards de toutes les familles dans le besoin, quelques francs à des centaines de francs aux familles à revenus modestes à la classe moyenne, et jusqu’à des milliers de francs à celles pour qui l’aspect financier n’est depuis longtemps plus un frein au désir d’agrandir leur famille.

Enfin, en cas d’acceptation de cette initiative, celle-ci engendrerait un manque à gagner d’un milliard pour les collectivités publiques. Lorsqu’il faudra récupérer ou économiser ce montant sur les budgets futurs, qui trinquera ? Malheureusement, très certainement les mêmes qu'en Valais.


Urbain Gaillard
Conseiller communal EA - Orsières

3 février 2015

Dès le 26 février, une bibliothèque itinérante… et électrique!

En cette année anniversaire, la Bibliothèque de Bagnes va se faire encore plus proche de ses lecteurs. Grâce à un bibliobus chargé d’ouvrages qui va parcourir la vallée pour proposer ses livres sur des rayonnages improvisés, sous tente ou dans différents commerces et établissements publics, en cas de mauvais temps. Le public viendra y faire son choix et sera libre d’emprunter des documents pour une durée allant jusqu’à un mois, avant que le bibliobus ne revienne chercher ses trésors. Première étape du périple: Bruson, le 26 février; retour des livres ou deuxième emprunt pour ceux qui le souhaitent, le 26 mars. Au fil des mois suivront d’autres villages-étapes, dont les habitants seront informés au fur et à mesure.


Virginie Petoud, la nouvelle responsable de la bibliothèque de Bagnes.
(crédit: Lisa Greve)


Le programme des 20 ans

26 février 2015: 1er arrêt du bibliobus, à Bruson, Restaurant Chez Valérie (13h30 - 17h30)

1er mai: Rencontre avec Jérôme Meizoz

Du 5 mai au 20 juin: Exposition «La Première Guerre mondiale, 1914-1918: et en Suisse alors?»

28 août: Place d’étoiles, le cinéma dans votre village

Novembre - décembre: Exposition Corinna Bille, «Entre rêve et réalité»

27 novembre: Toute puissance de la poésie: spectacle-lecture à partir de textes de Gustave Roud, Maurice Chappaz et Philippe Jaccottet

>> Site internet de la bibliothèque de Bagnes 
>> Page Facebook

(extraits du communiqué de presse)

1 février 2015

Jonathan Darbellay, candidat au Conseil national


C'est avec une grande fierté que le comité d'Entremont Autrement annonce la candidature de Jonathan Darbellay au Conseil national sur la liste de nos amis du Centre Gauche-PCS.

Jonathan est actuellement député-suppléant du groupe AdG au Grand Conseil valaisan, élu sur la liste Entremont Autrement

Vous pouvez retrouver ici l'interview que Jonathan nous accordait il y a de cela quelques jours à peine.

Il va de soi que notre comité soutiendra activement cette candidature tout au long de l'année à venir.

Nous informerons plus largement le public d'ici peu sur l'ensemble des moyens qu'Entremont Autrement compte investir dans cette campagne.

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