Oh toi, plus moi, plus tous ceux qui le veulent... Allez, venez, entrez dans la danse, entrez dans la COP26….
Il y a quelques jours, Boris a invité ses grands amis, pour une garden party dans son jardin écossais. Et si on réorganisait le monde ? On pourrait s’adapter, s’occuper de notre mère nature, planifier la transition énergétique tout en regardant de très près nos finances.
Alors de nombreux amis, ont répondu à son invitation. Car il est temps de parler climat et de responsabiliser les habitants de la terre. Car très bientôt, à cause du réchauffement climatique, il sera difficile voir pénible de vivre sur notre caillou.
Boris a accueilli ses hôtes en leur disant : « L’humanité a longtemps joué la montre sur le climat, il est minuit moins une sur l’horloge de l’apocalypse. Nous devons agir maintenant ! »
Emmanuel de renchérir : « Le succès est à portée de mains, si nous nous mobilisons, décidons, agissons… »
« J’imagine que je ne devrais pas m’excuser, mais je m’excuse pour le fait que les Etats-Unis soient sortis de l’accord de Paris et nous mettent en retard. » a lancé Joe. « Les Etats-Unis sont de retour et l’on veut montrer l’exemple. »
Et même Guy le martèle : « Tous les pays qui ont aujourd’hui la capacité de le faire doivent soutenir ceux qui ont besoin d’une assistance. »
Antonio plaide : « Assez de traiter la nature comme des toilettes, assez de brûler, forer et extraire toujours plus profond. Nous creusons nos propres tombes ! »
Notons quand même les excusés : Vladimir, Xi, …
Je pourrais ici continuer d’écrire sur tous ces magnifiques discours. Mais bon, pour ce que j’en ai compris, c’est que nous courrons tout droit à la catastrophe planétaire et qu’on le sait depuis longtemps. Les interventions politiques de nos gouvernements semblent alarmistes, pressantes et nécessaire, mais les actions semblent plus lentes et inefficaces.
Il faut bien s’imaginer que la COP1 s’est déroulée en 1995 à Berlin, alors même que les premières inquiétudes réelles pour la planète se concrétisaient déjà en 1972 avec le sommet de la Terre à Stockholm.
Depuis mon chez moi très agréable, il me semble que rien ne change vraiment. Je suis née en 1974, donc j’ai toujours vécu avec la conscience de l’humanité qui, depuis 1972, sait que nous courrons après ce réchauffement climatique engendré par notre consommation excessive. Mais il me semble, malgré moi, être entrainée dans ce tourbillon d’inactions et de belles paroles.
Alors, je finirai par être du même avis qu’Elisabeth exprimant son irritation envers les dirigeants mondiaux, à qui on a oublié de couper le micro : « Ils parlent du changement climatique, mais n’agissent pas ! »
Valérie Maret
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RépondreSupprimerMon cher, j'ai publié ton message provisoirement pour te laisser 48h pour argumenter ton assertion qui procède plus de la profération que du débat. Passé ce délai tu seras classé dans la catégorie des trolls et ton message rejoindra les autres spam. Bien à toi
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