27 septembre 2021

Insultes racistes, coups et blessures.

Le Matin d'aujourd'hui révèle une plainte déposée en marge de la fête de la raclette. La police a ouvert une enqête.
Elle se fait traiter de «sale négresse», son mari bastonné 
La famille de Martigny était venue assister samedi à des combats de reines au Châble. La fête a viré aux insultes racistes.

Le Nouvelliste rapporte également l'affaire. Les personnes mises en cause contestent les faits. 
Un couple valaisan raconte avoir été agressé verbalement et physiquement ce week-end au Châble, en marge d’un combat de vaches d’Hérens (des génisses) organisé dans le cadre de la fête Bagnes Capitale de la raclette. La femme affirme avoir été traitée de «sale négresse» à au moins deux reprises, alors que son mari aurait été frappé par des éleveurs.

Rhône FM 

20minutes

Le Blick
Le combat de reines dégénère 
Un Valaisan frappé après avoir défendu sa femme traitée de «négresse»


La police confirme l’ouverture d’une enquête. «Les propos potentiellement racistes ou homophobes sont poursuivis d’office depuis l’année 2020 en Suisse».

En 2015, une Bagnarde qui avait traité de nègre son locataire avait été lourdement condamnée pour injure parce que l'affaire s'était passée dans un cadre privé. Le code pénal ne retient la discrimination raciale que lorsqu'elle a lieu en public, avait commenté la procureure. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont soumis à un modérateur indépendant.
Ils sont donc publiés avec un temps de retard.
Les esprits s'échauffant au-delà du raisonnable et des bienséances en période électorale, il y a nécessité de le faire, le blog étant responsable devant la loi des éventuelles insultes qui y seraient publiées.
Il n'y a pas de censure politique. Mais l'idée que la terre est plate n'est pas une conviction politique.
Les utilisateurs ANONYMES sont tolérés, mais la modération des commentaires anonymes répond à des critères plus sévères. Merci de votre courtoisie. De manière bien évidente les commentateurs anonymes ne pourront pas être informés des raisons de la modération éventuelle de leurs assertions.