La nomination d’une collaboratrice scientifique sympathisante d’Ecône et méfiante à l’égard de l’école publique valaisanne (ses enfants fréquentent l’école privée) n’avait pas inquiété les milieux de l’instruction publique ni fait grand bruit dans les médias. C’était un cas isolé.
Aujourd’hui le chef de l’Office de l’enseignement spécialisé a donné sa démission. Le candidat pressenti à sa succession est issu des rangs de l’UDC (ce n’est pas rédhibitoire), n’a pas de formation d’enseignant et ne fait pas non plus confiance à l’école valaisanne (ses enfants sont aussi à l’école privée).
C’est grave ; ce n’est plus un cas isolé mais une volonté politique délibérée.
Pourtant l’Association des maîtres de l’enseignement spécialisé ne se manifeste pas et le président de la Société pédagogique valaisanne n’est même pas conscient de la situation.
Les députés et les partis politiques ont d’autres chats à fouetter et les conseillers d’Etat n’osent pas contrer leur collègue Chef du DFS.
Le « par cœur » en littérature ouvrira-t-il la porte du « par cœur » catéchétique ?
Il semblerait que les associations d'enseignants sont en train de réagir.
RépondreSupprimerC'est pas Freysinger qui disait justement qu'il allait mettre une terme à la politique des petits copains en Valais? Dire que j'ai voté pour lui, je suis très déçu. Il peut oublier mon vote à l'avenir!
RépondreSupprimerInquiète, très inquiète pour l'avenir des enfants les plus fragiles ... et dégoutée par la politique valaisanne !!!
RépondreSupprimerMoi exilée valaisanne sur terres vaudoises ...je vous enviais autrefois pour votre école spécialisée qui incluait les enfants ....Cl Saudan
RépondreSupprimerNouvel article suite à la mise au concours parue hier. Bonne lecture.
RépondreSupprimerJ'ai mal à mon Valais...
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