Aujourd’hui la confiance est rompue. Personne dans la population valaisanne ne comprend comment un homme qui est en charge de l’éducation, domaine noble s’il en est, peut ne pas payer ses impôts. Les hauts fonctionnaires de l’Etat se doivent d’être exemplaires. Gérer le paquebot de l’école n’est pas un poste honorifique; cela exige un sens supérieur de l’Etat, de la morale et une humilité face à la tâche qui nous est confiée. A n’en point douter, Monsieur Cleusix ne remplit plus aujourd’hui ces conditions.
Entremont Autrement est inquiet de l’indécision du Conseil d’Etat. Le gouvernement valaisan semble tétanisé par les « affaires » et totalement incapable de trancher. Il est certes difficile pour les cinq Sages de se dédire quelques mois après cette nomination - d’autant plus qu’ils étaient informés de ces éléments dès août 2013. Mais il en va désormais de leur crédibilité.
Les Valaisans attendent une réaction. Dans quel autre canton, dans quel autre pays, aurait-on autant tardé à prendre des mesures? Si le Valais politique veut éviter aujourd’hui son délitement progressif et une curée encore plus violente, il est temps de prendre la seule décision qui s’impose.
(1) Voir le rapport de la COJU de septembre 2014 et celui de la COGEST.
(2) Voir article du Matin Dimanche du 19.10.14
il se doit de partir,,,,en tant que parents, nous ne devons pas laisser ce monsieur rester,
RépondreSupprimerIl n'a pas besoin de partir tout seul, on peut lui demander de le faire...
RépondreSupprimerJ'ai honte pour mon canton.
RépondreSupprimerComment voulez-vous qu'on parle de bonne conduite à nos enfants maintenant?
Qu'est-ce que fout Monsieur Oskar Freysinger? Qu'il le vire, qu'on n'en parle plus et qu'on aie enfin l'air d'un canton moderne!
RépondreSupprimerPour avoir un canton moderne, il faudrait en virer encore quelques-uns :)
SupprimerC'est pas faux! :)
SupprimerC'est toi, Louis?
SupprimerC'est drôle, je me posais la même question...
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