Après
Astérix et plus récemment
Alix qui franchissait le col à l'époque antique, c'est au tour d'un nouvel héros de bande dessinée d'être représenté au St-Bernard: Louis Martin.
L'histoire se déroule en 1845.
Il y a un anachronisme dans la première case, puisque l'hôtel à gauche de l'hospice sur le dessin n'a été construit que 50 ans plus tard. D'autres détails architecturaux questionnent: l'absence de l'église notamment et la monumentalité du réfectoire.
M.& O. Malcurat, M. Greselin,
Louis et Zélie Martin, Editions Artège, Paris 2020
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires sont soumis à un modérateur indépendant.
Ils sont donc publiés avec un temps de retard.
Les esprits s'échauffant au-delà du raisonnable et des bienséances en période électorale, il y a nécessité de le faire, le blog étant responsable devant la loi des éventuelles insultes qui y seraient publiées.
Il n'y a pas de censure politique. Mais l'idée que la terre est plate n'est pas une conviction politique.
Les utilisateurs ANONYMES sont tolérés, mais la modération des commentaires anonymes répond à des critères plus sévères. Merci de votre courtoisie. De manière bien évidente les commentateurs anonymes ne pourront pas être informés des raisons de la modération éventuelle de leurs assertions.