15 janvier 2009
Le Conseil d'Etat rend hommage à Maurice Chappaz
on l'a sali, on l'a humilié, puis on a reconnu qu'il avait raison...
Le mot du Conseil d'Etat à lire ci-dessous est un encouragement pour un Valais autrement, pour un entremont autrement.
"Avec la disparition de Maurice Chappaz, le Valais vient de perdre l’explorateur et le guide de son âme. Au cours des soixante dernières années, il s’est attaché par un contact permanent et charnel avec un pays qu’il a arpenté de son pas lent, à révéler la réalité d’un Valais au-delà des apparences.
Le Conseil d’Etat et la population valaisanne se souviendront longtemps du poète universel, porteur de la plus profonde humanité, d’un auteur unanimement reconnu par ses pairs et ses lecteurs bien au-delà des frontières de notre canton et de notre pays. Il salue le citoyen engagé qui parmi les premiers s’est levé pour protester contre des excès qui, mettant la nature en danger, portaient atteinte à l’âme même de ce Canton. Maurice Chappaz a déposé le germe d’une prise de conscience aujourd’hui largement partagée après avoir été fortement combattue. Il n’a cessé de nous inviter à réinterroger sans cesse notre relation avec cette terre, avec sa nature, avec l’héritage reçu de nos pères. Nous devons désormais poursuivre ce travail sans lui, en puisant l’inspiration et la force dans son œuvre."
gabriel bender
Le mot du Conseil d'Etat à lire ci-dessous est un encouragement pour un Valais autrement, pour un entremont autrement.
"Avec la disparition de Maurice Chappaz, le Valais vient de perdre l’explorateur et le guide de son âme. Au cours des soixante dernières années, il s’est attaché par un contact permanent et charnel avec un pays qu’il a arpenté de son pas lent, à révéler la réalité d’un Valais au-delà des apparences.
Le Conseil d’Etat et la population valaisanne se souviendront longtemps du poète universel, porteur de la plus profonde humanité, d’un auteur unanimement reconnu par ses pairs et ses lecteurs bien au-delà des frontières de notre canton et de notre pays. Il salue le citoyen engagé qui parmi les premiers s’est levé pour protester contre des excès qui, mettant la nature en danger, portaient atteinte à l’âme même de ce Canton. Maurice Chappaz a déposé le germe d’une prise de conscience aujourd’hui largement partagée après avoir été fortement combattue. Il n’a cessé de nous inviter à réinterroger sans cesse notre relation avec cette terre, avec sa nature, avec l’héritage reçu de nos pères. Nous devons désormais poursuivre ce travail sans lui, en puisant l’inspiration et la force dans son œuvre."
gabriel bender
1 commentaire:
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on l'a sali, on l'a humilié, puis on a reconnu qu'il avait raison...
RépondreSupprimerLe mot du Conseil d'Etat à lire ci-dessous est un encouragement pour un Valais autrement, pour un entremont autrement.
"Avec la disparition de Maurice Chappaz, le Valais vient de perdre l’explorateur et le guide de son âme. Au cours des soixante dernières années, il s’est attaché par un contact permanent et charnel avec un pays qu’il a arpenté de son pas lent, à révéler la réalité d’un Valais au-delà des apparences.
Le Conseil d’Etat et la population valaisanne se souviendront longtemps du poète universel, porteur de la plus profonde humanité, d’un auteur unanimement reconnu par ses pairs et ses lecteurs bien au-delà des frontières de notre canton et de notre pays. Il salue le citoyen engagé qui parmi les premiers s’est levé pour protester contre des excès qui, mettant la nature en danger, portaient atteinte à l’âme même de ce Canton. Maurice Chappaz a déposé le germe d’une prise de conscience aujourd’hui largement partagée après avoir été fortement combattue. Il n’a cessé de nous inviter à réinterroger sans cesse notre relation avec cette terre, avec sa nature, avec l’héritage reçu de nos pères. Nous devons désormais poursuivre ce travail sans lui, en puisant l’inspiration et la force dans son œuvre."
gabriel bender