Le Nouvelliste publie aujourd'hui un article estival qui pose au moins deux questions de méthode aux connaisseurs de Facebook.
Tout d'abord, il compare ce qui n'est pas comparable en confondant Pages et Profils, ce qui n'est pas du tout pareil.
Enfin, il y a au moins une des personnes citées ci-dessus qui n'a pas un profil public en libre accès et qui dans ses préférences de confidentialité ne souhaite même pas voir publier le nombre de ses amis. Si le nombre est connu du journaliste, c'est qu'il en est l'ami à titre privé. Là aussi, il y a confusion des genres.
Le journaliste en question tente d'être ami Facebook avec tous les candidats de tous les partis.
RépondreSupprimerLorsqu'un profil est transformé en page, tous les amis sont considérés comme des personnes ayant cliqué sur "j'aime" dans la page.
Je me retrouve ainsi avec des "j'aime" Stéphane Rossini et Oskar Freysinger.
Jean-Yves Gabbud
Félicitations, votre insertion dans le terrain social est louable. Mais vous ne répondez pas à la question déontologique soulevée par notre lecteur. Peut-on faire usage comme journaliste d'informations reçues à titre privé?
RépondreSupprimerLe nombre d'amis sur Facebook serait une information confidentielle et privée? Je ne crois pas.
RépondreSupprimerLa réponse est dans le Nouvelliste de ce 24 novembre 2011. Sous la plume de Jean Romain:
RépondreSupprimerCertes, le Conseil de la presse s’est exprimé: en publiant des informations et des images à caractère personnel, les familiers de la Toile ne renoncent pas pour autant à la protection de leur sphère privée. (...) De ce point de vue, les médias n’ont pas le droit de les reproduire ni de les répandre.