1 avril 2010

Economie touristique: vers une modernisation des conditions cadres

(I-VS).- Le Département de l’économie, de l’énergie et du territoire (DEET) a établi un concept global pour relancer les réflexions sur l’avenir du tourisme valaisan, après le refus par le peuple de la loi cantonale sur le tourisme du 13 novembre 2008. Le Conseil d’Etat a nommé le comité de pilotage chargé de conduire ce projet.

Le projet de nouvelle loi sur le tourisme, adopté par le Parlement en novembre 2008, a été refusé par le peuple le 29 novembre 2009. Si le peuple a refusé la loi dans son ensemble, les échanges et prises de positions diverses des citoyens, des associations ainsi que des partis politiques durant la campagne précédant cette votation ont clairement fait ressortir que tout n’était pas combattu dans ce texte de loi. Certaines des réformes que proposait ce dernier étaient vivement souhaitées.

La nécessité pour le canton de disposer d’un observatoire du tourisme ainsi que l’instauration d’une société de promotion de l’image du Valais ont en particulier été largement plébiscitées par les divers cercles qui se sont exprimés.

Fort de ce constat, le Département de l’économie, de l’énergie et du territoire (DEET) a proposé au Conseil d’Etat d’aller de l’avant dans la modernisation des conditions cadres du tourisme.

Un concept d’action a été établi. Il comprend notamment la mise sur pied d’un sommet du tourisme, prévu durant le deuxième trimestre 2010. La conduite de ce projet global sera assurée par un comité de pilotage constitué de représentants des milieux tant politiques que du secteur touristique.

Le Conseil d’Etat, sur proposition du DEET, vient de nommer ce comité de pilotage. Présidé par Jean-Michel Cina, chef du DEET, il sera composé de Marylène Volpi-Fournier et de Jean-Marie Fournier, German Eyer, Edmond Perruchoud, Luc Fellay, Fernand Nanchen, Jean-Albert Ferrez, Peter Furger et Joseph Zenhäusern.

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