13 janvier 2025

Entremont Autrement vous présente ses candidates et candidat pour les cantonales !

Après un repos bien mérité et une période de fêtes bien remplies, Entremont Autrement vous souhaite une bonn année et revient aux affaires politiques ! Notre mouvement vous présentera tout au long du mois nos candidat.es pour les élections cantonales de 2025 sur le district d'Entremont.

Entremont Autrement compte depuis 12 ans un siège de député et de député suppléant pour le district, actuellement occupé à la députation par Jonathan Darbellay et Roxanne Giroud à la suppléance. Jonathan, qui a remplacé au pied levé Maxime Collombin cette année, n’a pas souhaité se représenter pour des raisons professionnelles. Après deux législatures à la suppléance et quelques mois de retour au Grand Conseil valaisan pour cette fin de législature, Jonathan a marqué durablement le mouvement EA et a su collaborer avec succès au sein du groupe PS et gauche citoyenne. Pour cela, il est sincèrement remercié ! 

Pour défendre nos deux sièges, le mouvement a investi Marie Oreiller et Sylvain Morand à la députation ainsi que Roxanne Giroud, qui repart pour un tour, et Myriam Bouverat à la suppléance. 

Marie Oreiller possède une solide expérience de la politique locale, après avoir siégé pendant deux législatures au Conseil général de Bagnes puis de Val de Bagnes. Elle a d’ailleurs œuvré en commission de gestion de la commune et souhaite désormais s’investir pour représenter le district à Sion et défendre entre autres une vision du tourisme quatre saisons et respectueux de l’environnement. 

Sylvain Morand, ancien conseiller général à Val de Bagnes, se présente aussi pour défendre l’équité sociale en Valais. Membre du comité d’initiative du salaire minimum au niveau cantonal, son engagement en faveur des plus démuni.es est connu du terrain entremontant et au sein de la gauche valaisanne. 

Roxanne Giroud, suppléante EA sortante et vice-présidente du mouvement, est également très connue dans la région et au sein de notre mouvement. On ne présente plus ses engagements politiques sociaux en faveur de l’accessibilité de la culture et de l’encadrement de la jeunesse sur le district. Bonne connaisseuse des tissus associatifs locaux, elle travaille avec succès au sein du Groupe PS et gauche citoyenne du Grand Conseil. 

Myriam Bouverat, conseillère générale à Val de Bagnes, se met à disposition du mouvement pour la suppléance. Forte d’une excellente expérience professionnelle d’enseignement dans le secteur tertiaire, elle est une fine connaisseuse des enjeux d’éducation et en particulier dans les domaines du numérique, du sport et de la durabilité. Par ailleurs, elle s’engage depuis les années 80 en faveur d’une prise en compte systémique des enjeux de durabilité à tous les niveaux et ancre son investissement politique notamment dans la transition écologique, collective et individuelle, appelant à agir pour transformer le modèle socio-économique actuel construit sur la croissance continue vers un modèle économique et social qui tienne compte des limites planétaires.

Entremont Autrement est fier de proposer ses quatre candidatures de qualité et se réjouit de faire campagne auprès de ses candidat.es.

6 décembre 2024

Des suites à la vidange du barrage des Toules...

L’actualité de cette semaine nous a rappelé la vidange du barrage des Toules qui avait provoqué il y a quelques mois une lave torrentielle détruisant a priori la faune et la flore piscicole de la Dranse d’Entremont. Afin de connaître l'ampleur des conséquences, nous attendons encore le rapport d'impact. Cette situation est fortement déplorable, d’autant que, si ces dégâts sont confirmés, l’éco-système de la Dranse prendra plusieurs années à se rétablir et qu’il semble que cela soit le 3ème problème de ce genre à déplorer au barrage des Toules, selon les dires du WWF. 

Le fait que deux associations de défense de l’environnement déposent plainte contre les sociétés qu’elles jugent responsables, de même que le Canton, nous interroge sur le respect des normes dans lequel cette vidange a été menée. Plus largement, nous déplorons qu’une société majoritairement en mains communales locales soit concernée par ces plaintes.

Les sociétés concernées annoncent la sortie, en début d’année prochaine, d’un rapport d’impact concernant la vidange en question. Notre mouvement sera attentif aux résultats de ce rapport ainsi qu’aux suites qui seront données à cette affaire.

                                                                                                                Entremont Autrement

25 novembre 2024

Sommes-nous en train de nous bercer d’illusions ? ou l'impossibilité d'atteindre les objectifs de l'Accord de Paris

Il y a six mois, nous avions souligné que certaines prévisions énergétiques négligeaient de préciser les impacts de leurs projections ou scénarios sur le réchauffement climatique.  Nous nous sommes demandé si cette omission était intentionnelle et si elle devait être interprétée comme un rejet de facto de l’objectif de l’Accord de Paris de limiter le réchauffement à +1,5°C. Nous avons exhorté tous les prévisionnistes à identifier ces impacts dans leurs rapports ultérieurs. Depuis lors, de nouveaux rapports ont encore une fois omis de mentionner les implications sur le réchauffement climatique de la croissance continue de la demande mondiale de pétrole projetée.  Notre questionnement persiste : comment interpréter l’incapacité de certains prévisionnistes à préciser les implications de leurs projections ? Ignorent-ils délibérément l’objectif de l’Accord de Paris ?


Tous les prévisionnistes n’ignorent pas les impacts climatiques. Certains sont plus explicites dans le calcul des émissions de CO2 anticipées et des augmentations de température mondiale résultant de chaque scénario.  Ils reconnaissent également que le monde n’est pas sur la bonne voie pour contenir le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels. Et à chaque nouveau rapport, la probabilité d’atteindre l’objectif devient de plus en plus faible ; les scénarios conduisant à « zéro émission nette d’ici 2050 » deviennent de moins en moins crédibles.

Il était important de fixer un objectif dans l’Accord de Paris de 2015, et d’évaluer régulièrement les progrès vers cet objectif afin de contribuer à une amélioration des performances. Cependant, à mesure que cet objectif s’éloigne de plus en plus, risquons-nous de nous laisser entrainer par des vœux pieux ?

L’indifférence aux implications de leurs actions sur le réchauffement climatique ne se limite pas aux prévisionnistes. Nous observons bien d’autres signes d’un écart grandissant entre les performances réelles et les objectifs déclarés.

Production de pétrole

De 2015 (Accord de Paris) à 2023, les pays membres de l’Opep (organisation des pays exportateurs de pétrole) ont réduit leur production pétrolière de 2,3 millions de barils par jour.  Leur objectif n’était ni la conservation des ressources ni la réduction des émissions, mais le soutien des prix. Sous l’influence des prix défendus par l’Opep, la production pétrolière des pays non membres de l’Opep a augmenté de 6,7 millions de b/j sur la même période. Pour chaque baril laissé dans le sol par l’Opep, près de trois barils d’offre supplémentaire entraient sur le marché ailleurs.

Une grande partie de cette expansion s'est produite aux États-Unis et au Canada, où les coûts de production pétrolière sont parmi les plus élevés au monde. Sans le soutien des prix fixés par l’Opep, une partie, sinon la totalité, de ce pétrole nord-américain ne serait pas exploitable commercialement.

En d’autres termes, l’Opep a protégé ses sources de revenus tout en induisant la production de pétrole ailleurs, perdant ainsi des parts de marché. Peut-être que cette politique de protection des revenus aurait été compatible avec la poursuite des objectifs de l’Accord de Paris si les membres de l’Opep avaient dépensé une plus grande part de leurs revenus pour réduire les émissions et/ou pour accroître la part des énergies renouvelables dans la production nationale d’électricité. 

Aucune de ces deux actions ne conforte cette interprétation. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) des membres de l’Opep ont en fait augmenté entre 2015 et 2023. La part de l’énergie « propre » dans la production d’électricité de l’Opep a diminué dans quatre États membres et est restée, au cours de la dernière année de référence, inférieure à 2 % dans quatre autres membres.  Un seul membre de l'Opep, les Émirats Arabes Unis, a connu une augmentation significative au cours de la même période, principalement due à l'ouverture de la centrale nucléaire de Barakah. La part de l’hydroélectricité du Venezuela varie considérablement en fonction de la disponibilité de l’eau. Comme on pouvait s’y attendre, de nombreux membres de l’Opep consacrent leurs budgets à d’autres priorités, notamment à leurs obligations socio-économiques nationales, plutôt que d’augmenter à outrance leur production d’énergies « propres ».




                            Source: EDGAR, http://edgar.jrc.ec.europa.eu

                       Source: EMBER, https://ember-energy.org/data/electricity-data-explorer/

                Energie “propre” : solaire, éolien, biomasse, autres renouvelables, hydro,                         nucléaire. *Pour certaines états membres, les valeurs les plus récents sont de                   2023.

Il est peu probable que l’Opep renonce à la défense des prix du pétrole dans un avenir proche ou à moyen terme. La baisse du prix du pétrole qui permettrait aux membres de l’Opep de regagner des parts de marché ne serait pas compensée par des gains de volumes. Les revenus de l’Opep diminueraient fortement, ce qui limiterait de nombreuses dépenses, y compris les investissements dans les énergies propres.

Efforts des majors

Quant aux grandes sociétés pétrolières et gazières du secteur privé, les efforts annoncés précédemment pour atteindre les objectifs de réchauffement climatique sont sapés par les récentes annonces. Il y a seulement quelques années, elles se vantaient de vouloir diversifier leurs investissements dans les énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Certains ont annoncé des objectifs de réduction de la production pétrolière tout en augmentant la production d’énergies renouvelables. Elles ont cependant fait volte-face récemment.  

Les revenus élevés de l’industrie, soutenus par l’Opep, ne sont pas, pour la plupart, investis dans les énergies renouvelables. Ces dernières années, l’industrie a consacré une grande partie de ses flux financiers au paiement de dividendes aux actionnaires, aux rachats d’actions et au remboursement de la dette. Selon l’Agence internationale de l’énergie, les investissements dans les énergies propres des sociétés pétrolières et gazières ont atteint 28 milliards de dollars en 2023, soit moins de 4 % de leurs dépenses en capital et moins de 1 % de leur bénéfice net. 

L’impression que nous nous leurrons en pensant que nous pouvons atteindre les objectifs de l’Accord de Paris est renforcée par les difficultés rencontrées par les pays développés pour atteindre un objectif précédemment fixé de 100 milliards de dollars par an en financement climatique pour les pays en développement.  Cet objectif, fixé lors de la COP15 en 2009, devait être atteint en 2020. Mais, selon l’OCDE, il n’a finalement été atteint qu’en 2022.

Objectif de financement de la COP29

L’objectif de 100 milliards de dollars par an est insuffisant. Un consensus sur un nouvel objectif quantifié collectif (NCQG) sur le financement climatique sera négocié lors de la COP29 à Bakou. Un groupe d’experts indépendants estime qu’« au moins 2 400 milliards de dollars d’investissements par an seraient nécessaires d’ici 2030 » dans les marchés émergents et les pays en développement (EMDC), à l’exclusion de la Chine.  Les experts pensent que ce financement doit provenir de ressources publiques nationales, du secteur privé, de banques multilatérales de développement et de financements concessionnels. 

Réunir ces différentes sources de financement ne sera pas aisé. De notre propre expérience, nous savons à quel point il est difficile pour les investisseurs privés d’accepter les risques élevés liés au lancement de projets dans les pays en développement. Les investisseurs peuvent diversifier certains risques en créant des coentreprises, si possible incluant également des entreprises du secteur public. Le risque politique peut être davantage diversifié si l’entreprise cible une vaste zone géographique comprenant plusieurs juridictions gouvernementales. Le financement initial du secteur public (en montants étonnamment limités) peut être un attrait important pour les investisseurs privés réticents à assumer seuls le risque des études et évaluations initiales requises pour préparer l’autorisation du projet et les approbations réglementaires. 

Quel que soit le montant du NCQG convenu lors de la COP29, une grande partie des investissements devra être consacré à l’Afrique, en particulier à l’Afrique subsaharienne. 750 millions de personnes – principalement en Afrique subsaharienne – n’ont toujours pas accès à l’électricité.  L’Afrique est loin derrière le reste du monde en matière de développement des énergies renouvelables.  Pourtant, le plus grand potentiel en matière d’énergie solaire et éolienne se trouve en Afrique.  Et l’Afrique subsaharienne comprend la majorité des pays dans la catégorie des « pays pauvres très endettés » de la Banque mondiale/FMI, éligibles ainsi à une aide spéciale. 

Le monde est actuellement sur la voie d’un réchauffement climatique d’environ 2,5°C d’ici 2100, nous ne nous dirigeons donc pas vers l’objectif de 1,5°C de l’Accord de Paris.  Nous devons le reconnaître. Néanmoins, si la COP29 parvient à un consensus sur un NCQG généreux, alors le monde reste sérieux quant à la réalisation d’au moins un des objectifs de l’Accord de Paris. Sur cette lueur d’espoir, nous ne nous faisons peut-être pas d’illusions.


Version originale (en anglais) publié le 8 novembre 2024 par Energy Intelligence Group https://www.energyintel.com/00000193-01ed-d44c-a7b3-f9ed26d40000

John Gault, Orsières, et Nordine Ait-Laoussine, Genève


12 novembre 2024

Si Entremont Autrement était un citoyen suisse lambda, il voterait 4 x NON aux votations fédérales et une fois OUI au niveau cantonal en novembre.

Comme d'accoutumée, le mouvement a mené sa consultation interne et il en ressort 4 NON aux objets fédéraux et un grand OUI à l'objet cantonal mis en votation le 24 novembre prochain.

1. Arrêté fédéral sur l'étape d'aménagement 2023 des routes nationales -NON

A l'unanimité des sondé.es, l'agrandissement des autoroutes est refusée. Soumis au vote par un référendum issu notamment des partis de gauche, l'arrêté manquerait son objectif de fluidifier le trafic. En effet, il a déjà été remarqué qu'un agrandissement des autoroutes provoquait en réalité un appel d'air et que la fréquentation de ces tronçons augmentait, sans permettre en réalité d'alléger le trafic dans ces zones. De plus, ces agrandissements empièteront sur des terres agricoles, alors même que les terrains exploités par l'agriculture diminuent dans notre pays.

2. Modification du code des obligations (droit du bail - sous-location) - NON

A l'unanimité moins une abstention, les membres sondés s'opposent fermement à cette modification, qui cherche à renforcer la position des propriétaires pour expulser plus facilement les locataires et ensuite pouvoir augmenter les loyers plus facilement. La protection des locataires en serait donc amoindrie. De plus le système de la sous-location a fait ses preuves en Suisse jusqu’à aujourd’hui et les abus sont déjà sanctionnés par la loi. Une modification n’est donc pas nécessaire et viserait largement à précariser les locataires.


3. Modification du code des obligations (droit du bail - résiliation pour bien propre) - NON

Comme pour le précédent objet, à l'unanimité moins une abstention, le mouvement s'exprime contre cette modification. Ce projet de modification s’associe à celui susmentionné pour affaiblir les droits des locataires. Le but de la démarche serait donc de permettre plus facilement les résiliations de bail afin de faire augmenter les loyers pour les locataires suivants. Actuellement la majorité des Suisses et Suissesses vivent en location, ce qui assure à une minorité de propriétaire des revenus fixes et confortables. De plus, se loger est un droit fondamental et il doit être protégé.

4. Modification de la loi fédérale sur l'assurance maladie (EFAS) - NON

Cette fois-ci, tou.tes nos membres sont d'accord pour refuser cette modification. L'argument qui dénonce un transfert des compétences des Canton vers les assurances maladies, puisqu’elles seraient les principales financières des prestations de soins, a beaucoup convaincu. Les caisses-maladies contrôleraient ainsi en plus des primes qui leur sont versés les subventions hospitalières payées par nos impôts. Ce serait une privatisation déguisée des prestations de soin. Des économies seraient alors recherchées plus activement, notamment sur le personnel hospitalier déjà mis sous pression par la hausse systématique des coûts de la santé. Finalement ce sont les cliniques privées et les EMS à but lucratif qui pourraient en ressortir gagnants, puisque les hôpitaux qui assurent un service public 24/24 continueraient d’accepter tou.tes les patient.es et pourraient ne pas être remboursés pour certains soins qui seraient jugés inadaptés par les assurances maladie.

5. Loi cantonale sur le climat - OUI

C'est ici une unanimité en faveur du OUI qui ressort de notre consultation. La loi vise l’objectif de la neutralité carbone pour 2040. La situation globale du climat est préoccupante : les pires scénarios annoncent des hausses de température de plus de 8 degrés en Valais avec des risques naturelles considérables Des solutions doivent donc être trouvées également en Valais. La loi n’étant pas prescriptive, elle soutiendrait les collectivités locales, les particuliers et les entreprises vers la transition 0 carbone. Aucune taxe à la pollution ne se trouve dans le texte qui prévoit d’améliorer la santé de la population en évitant les îlots de chaleur et les maladies liées au réchauffement climatique. De même des offres pour les particuliers sont prévues dans le plan d’action pour la rénovation des bâtiments, en encourageant la transition énergétique et en soutenant l’économie circulaire. Cette loi fournira la base légale à aider également les communes ainsi que les entreprises à participer à l’objectif neutralité carbone en créant un guichet cantonal unique d’information et de soutien. Des mesures sont prévues aussi pour informer la population et financer la recherche scientifique.

10 novembre 2024

Live des résultats

Fin de ce live, merci de nous avoir suivi.es!

19:00: Val de Bagnes a un nouveau CG, 31 Centristes (statut quo), 15 PLR (-6 sièges), 7 EA (-1 siège) et 7 UDC (-1 siège). Le groupe EA du CG se prépare à siéger et à représenter les citoyens et citoyennes de Val de Bagnes.

16:45: Les résultats sont tombés à Val de Bagnes, Entremont Autrement fait 7 sièges. 

On en perd un visiblement au profit de l'UDC mais nos sept candidat.es sont élu.es au Conseil général. Le groupe EA sera donc composé de Myriam Bouverat, Stefan Carron, Anthony Corthay, Tora Löf, Delphine Monnard, Colette Pembe Tornay et Fanny Vaudan. Le mouvement témoigne toute sa reconnaissance à ses candidat.es de Val de Bagnes qui ont su mobiliser notre base électorale et au-delà pour leur élection et réélection. Valérie Guigoz, notre conseillère communale, pourra compter sur un groupe qui saura appuyer ses projets de politique sociale et solidaire.


16:00 : On attend toujours les résultats à Val de Bagnes.

12:41: le résultat est tombé à Liddes! 

Basile Darbellay n'accède pas à la vice-présidence pour 165 voix en faveur de David Marquis et 135 en sa faveur. Même si la vice-présidence lui échappe de nouveau pour quelques voix, il assumera complètement la position de minoritaire qui la sienne sans le PLR au sein du conseil communal nouvellement élu. Il continuera d’œuvrer pour ses concitoyens et concitoyennes. Notre mouvement le remercie de porter depuis de nombreuses années les couleurs d'EA et de soutenir nos principes d'équité, de justice sociale et de transparence. 

12:00 : Les premiers résultats tombent pour le reste du Valais !
Que ce soit à Massongex, Grimisuat, Ayent ou Veysonnaz, les premiers résultats pour les élections aux vice-présidences et présidences arrivent et donnent quelques surprises. Nous attendons Liddes !

Bienvenue à toutes et à tous dans ce live EA pour cette journée d'élections! Nous attendons deux résultats en Entremont particulièrement: l'élection à la vice-présidence de Liddes pour laquelle notre candidat EA Basile Darbellay, Conseiller communal, s'est présenté et les élections au Conseil général de Val de Bagnes pour lesquelles nos candidat.es Myriam Bouverat, Stefan Carron, Anthony Corthay, Tora Löf, Delphine Monnard, Fanny Vaudan et Colette Pembe Tornay, sont en lice.

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