Certes, j’imagine des différences entre eux. J’imagine en trouver par exemple dans leur parcours professionnel, dans leur langue maternelle, dans leur volonté de renier ou pas la défense de leur petit commerce, dans leur manière de vendre leur art ou encore dans l’agencement de leur salon de coiffure. Par contre, dans mon choix imaginaire, il faut aller chercher bien profond dans les détails pour trouver des différences dans le résultat du maniement de leurs ciseaux, peignes et autres outils de travail. Leurs tarifs et leurs coupes se ressemblent comme celles de Dupond et Dupont.
Pour des chevelus appréciant une coupe traditionnelle, le choix imaginé et offert ici, est à même de les combler. Pour ceux n’aimant pas les coiffeurs mais appréciant les capilliculteurs, ce même choix semble pouvoir en satisfaire une majorité. Celui-ci devient un peu moins séduisant pour les adeptes des merlans, ces coiffeurs plus vulgaires et traditionalistes.
Mais dans cet imaginaire, qu’en est-il de choix pour les chauves ? Coiffeurs (ou merlans) ou capilliculteurs ne leur étant d’aucun secours, sur quels éléments devraient-ils se baser pour choisir ? Pour le chauve qui ne veut pas se baser sur la forme mais uniquement sur le fond, j’imagine que de choix il n’en a réellement pas.
Hahaha ! excellent
RépondreSupprimerEt même pas possible de les départager, ils ont tous les trois la raie à droite !!
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RépondreSupprimerBien vu Mich, je n'avais pas pensé à celle-là
RépondreSupprimer:-)